Pour signaler une disparition...

18 octobre 2013 (date ou heure de fin non spécifiée) - 25 octobre 2013 (date ou heure de fin non spécifiée)
Dans la ruelle de la Sala Rossa ou par téléphone en tout temps au 514-360-2202, 4848 boulevard Saint-Laurent, Montréal (googleMap)
http://www.festivalphenomena.com/filles/fr/select/even/?id=31566

L'oeuvre sonore interactive présentée en installation lors du festival Phénomena 2013 est en ligne en tout temps au 514-360-2202 (sans frais)! 

De plus ! Pour vous guider dans ce parcours insolite, Pourquoi jamais vous invite à vous procurer l'édition gratuite du journal LE MIROIR.

Image du journal LE MIROIR

 

Nuit froide d’octobre. Ruelle sombre. Tout au fond, une cabine téléphonique sortie d’une autre époque d’où s’élève une sonnerie persistante. Comme dans un scénario de mauvais film, vous répondez à l’appel; après hésitation, vous avancez dans l’obscurité pour décrocher le combiné. À l’autre bout du fil, une voix enthousiaste, incongrue dans cette atmosphère sinistre... Avec l’aide d’un système téléphonique interactif, vous être invité-es à déclarer la disparition d’une femme que vous auriez connue, imaginée, rêvée, oubliée.

Au fil d’une succession d’options loufoques, absurdes, cyniques, parfois grinçantes, «Pour signaler une disparition» vous propose une installation multidisciplinaire abordant le thème des nombreuses formes de disparitions qui peuplent notre histoire et notre présent. Votre principal défi: ne pas vous y égarer.

Avec la participation de Annabelle Petit, Anne Sergent, Audrey Poulin, Camille Toffoli, Damien Thomas, Daryl Hubert, Éric Gagné, Francis P. Paquin, Isabelle Caron, J-P Boudreau, Jörn Nathan, Julie Aubin, Louis-Philippe Bell, Maxime Charbonneau, Mireille L. Poulin, Myriam Boivin-Comtois, Myriame Charles, Tiphaine Delhommeau et Yan Lavoie

Pour signaler une disparition

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L'arrière de Pour signaler une disparition

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Un résumé audio-visuel...
 


Un peu d'histoire...
 

Lors de la première édition du festival Phénoméma à l’automne 2012, Pourquoi jamais a présenté un aperçu singulier de l’univers de l’artiste montréalaise Erika Weisz, pionnière féminine de l’illusionnisme mystérieusement disparue en 1933 alors qu’elle devait entamer une nouvelle tournée de spectacle après plusieurs années d’absence.

Intitulée Erika Weisz disparue, cette performance exposait les coulisses d’un spectacle qui n’eut jamais lieu, l’artiste n’étant jamais montée sur scène. Cette mise en scène des minutes précédant la disparition de la magicienne, présentant sa personnalité à la fois complexe et tourmentée ainsi que les conditions inexpliquées de sa disparition, a laissé le public devant un mystère irrésolu.

Dans le cadre de l’édition 2013 du festival Phénomena, Pourquoi jamais replonge dans l’atmosphère cabalistique surréaliste des « disparitions d’Erika Weisz » afin d’explorer à nouveau les mystères entourant la disparition de la prestidigitatrice.